[LA BOETIE et Montaigne], La Mesnagerie de Xenophon, Les Regles de mariage, de Plutarque, la Lettre de consolation, de Plutarque à sa femme. Le tout traduict de Grec en François par feu M. Estienne de La Boetie […] Ensemble quelques Vers Latins et François, de son invention. Item, un Discours sur la mort dudit Seigneur De La Boëtie, par M. de Montaigne, Paris, F. Morel, 1571 ; puis Vers François de feu Estienne de La Boëtie, ibid., 1572.

[LA BOETIE et Montaigne], La Mesnagerie de Xenophon, Les Regles de mariage, de Plutarque, la Lettre de consolation, de Plutarque à sa femme. Le tout traduict de Grec en François par feu M. Estienne de La Boetie […] Ensemble quelques Vers Latins et François, de son invention. Item, un Discours sur la mort dudit Seigneur De La Boëtie, par M. de Montaigne, Paris, F. Morel, 1571 ; puis Vers François de feu Estienne de La Boëtie, ibid., 1572.
In-8°, français, latin.

Page de titre : signature mõtaigne 1. Au f° 118 v°, dans la section des Stephani Boetiani Poemata, note manuscrite en français de Florimont de Ræmond (main identifiée par Evelien Chayes, IRHT, en 2014), en face du dernier vers de la réponse de La Boétie au poème de Dorat de Androgyno et Senatu semestri (Quantilla nostrûm quisque pars erit sui ?) et après avoir souligné Quantilla : « [Il y] auoit [… ]elle quanta quanta pars eris tui / [ma]is daultant que / [Mon]sr daurat sen / [est]oit offense Monsr / [de] Montaigne lechangea / [com]me il me dist en sa maison / [de] Montagne en perigort / [la]n 1582 au moys de Iuing. / [la] veille st bernabe. » L’exemplaire aurait donc appartenu à cet ami de Montaigne auquel il avait résigné sa charge de conseiller au Parlement de Bordeaux plus de dix ans avant cette visite.

Une main hésitante a écrit cet ex-libris sur le contreplat supérieur : « ex Biblioth[eca] Claperoniana ». Ce pourrait être la même que celle qui a inscrit et souligné plus bas la mention « Trés Rare » en grosses lettres (différente, me semble-t-il, des deux renvois paginaux intermédiaires aux feuillets 26 et 129v°). Selon John O’Brien (courriel du 20 janvier 2022, pour mise à jour), l’ancien propriétaire pourrait être Antoine de Clapeyron dont la Revue du Lyonnais, troisième série, t. XIX, 1875, p. 300, précise qu’il était « protonotaire du Saint-Siège à Paris, chanoine et chantre de l’Isle-Barbe, mort à Sainte-Foy-lès-Lyon, le 2 décembre 1772 ».

Paris, BnF : Rés. Z Payen 511.

A. Legros
Publié le : 26/10/2015
Mis à jour le : 27/01/2022

Page de titre

Page de titre – (c) Paris, BNF

f2

Ex-libris sur contregarde supérieure – (c) Paris, BNF – Photo AL-BVH

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Note de Florimont de Raemond – (c) Paris, BNF – Photo AL-BVH

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